Avec le covid, je suis parti de cette troupe. Je n'ai pas écris plus tôt là-dessus car je sentais inconsciemment qu'il me manquait un élément. Celui-ci m'a été fourni par une rencontre fortuite dans le métro.

Pour faire très court, il y a toujours eu une bonne dose d'hypocrisie dans le fonctionnement de ce collectif. Il est censé fonctionner de façon horizontale alors que les décisions importantes se sont toujours prises en petits comités dans lesquels, même après avoir manifesté mon désir d'en faire partie et m'être entendu répondre que l'on me dirait quand aura lieu la réunion, je me suis retrouvé devant le fait accompli de décisions qui avait été prises sans que je sois présent, donc sans même que je puisse m'exprimer.

D'autres personnes ont fait ce reproche et elles sont toutes parties. Ce ne fut pas mon cas car il y avait une belle énergie autant de groupe qu'individuelles dans les répétitions et les performances, si bien que j'ai toujours eu beaucoup de plaisir à participer. De plus sur l'aspect théâtral, le coaching du groupe, avec des hauts et des bas - qui n'en a pas, étaient excellent et il nous a permis de bien progresser.

Avec le covid, tout à changé. J'ai tout de suite compris que les autorités nous dansaient sur le ventre et que leur politique était au mieux anti-scientifique, au pire eugéniste. J'ai donc manifesté le désir de faire une performance sur le covid. Cela a donné des discussions orageuses dans lesquelles la majorité des gens ne s'exprimaient pas, une personne a mis toute son énergie à empêcher que ces discussions aboutissent et donc à empêcher que nous puissions mettre nos énergie, nos nombreux ressentis et sentiments dans cette performance, allant jusqu'à des attaques personnelles particulièrement blessantes. Une ou deux autres personnes se sont exprimées, mais sans grande conviction et sans aller jusqu'à des attaques personnelles.

Ceci tandis que la seule personne qui aurait pu mettre de l'ordre dans ces discussions, le coach principal de la troupe, à laissé faire sans jamais chercher à calmer le jeu. Puis cette personne a organisé quelques soirées festives dont la première partie aurait du être consacrée à cette discussion. Chaque fois que je suis arrivé à une de ces soirées, même en m'y prenant bien en avance, cette discussion n'a jamais eu lieu. Mon ressenti lors de ces soirées fut d'avoir été totalement manipulé et j'ai donc vraiment du me forcer pour garder le sourire.

S'en est suivi une discussion de groupe sur whatsapp où ce coach a dit qu'elle avait toujours pensé que le thème de ce groupe de théâtre est la migration et rien d'autre. Ce qui est totalement contredit par les images qui sont ci-dessous d'une performance dont le thème principal est l'environnement. La personne qui a introduit cette perfo dans le groupe a alors rebondit en disant que comme le thème du groupe a toujours été la migration, je n'avais qu'à accepter de me la coincer avec ma perfo sur le covid. Ce à quoi j'ai répondu que devant tant d'hypocrisie de plus en plus générale, il ne me restait plus qu'à quitter le groupe avec effet immédiat.

Depuis je n'ai eu que quelques rencontres fortuites avec les personnes de ce groupe. La dernière fut très courte mais très intéressante. Ce fut dans le métro avec la personne qui m'a particulièrement agressé chaque fois que j'ai essayé de parler de mettre nos énergies dans une perfo sur le covid. Nous sommes 3 ans après le début du covidisme et elle ne sait toujours pas qui est Fauci, ce gars qui a lancé toute cette lamentable et criminelle histoire aux USA et qui se retrouve aujourd'hui sous des feux croisés qui devraient lui valoir de finir ses jours en prison, voir sur une chaise électrique.

Donc cette aventure est pour moi terminée. J'aurais eu beaucoup de plaisir, sauf à la fin, laquelle me laisse un goût amer. C'est pourquoi j'en parle ci-dessus. Les gens sont comme ils sont et nous vivons une époque de fous où particulièrement dans un pays aussi riche que la Suisse, la médiocrité et ses manipulations sur fond d'égoïsme et d'hypocrisie semblent être de plus en plus la norme. Je laisse cette page en l'état, comme ça vous pouvez bénéficier des super énergies qui se dégagent des photos d'une partie des performances faites avec cette troupe.


Les vendredi 27.à 20:30 et dimanche 29 à 12:30 d'août 2021  à l'Exozone du festival Objectif Terre

Les éléments vitaux de notre monde se sont trouvés emprisonnés par la Banque et l’Etat, ils doivent défendre leur valeur sans cela ils disparaîtront. Avec beaucoup de pragmatisme et une grande lueur d’espoir cette pièce nous fait voir l’état actuel du monde. Il n’est pas encore trop tard pour agir.

Une jeune femme dit avec sensibilité et clairvoyance la réalité du monde dans lequel elle vit, avec rage, détermination et tout son coeur elle s’ouvre au public. Beaucoup d’éléments permettant aux humains de vivre et être heureux sur la planète ont été enchaînés, emprisonnés par la Banque et l’Etat. L’océan, les glaciers, la nature, la paix… vont devoir proclamer leur importance, défendre leur raison d’exister. La Banque et l’Etat en seuls juges, vont-ils être prêts à les entendre ? Vont-ils leur donner une chance? Avec une fin qui donne beaucoup d’espoir la jeune femme revient sur scène en montrant qu’il n’est pas encore trop tard pour agir et faire partie d’un monde meilleur.Les éléments vitaux de notre monde se sont trouvés emprisonnés par la Banque et l’Etat, ils doivent défendre leur valeur sans cela ils disparaîtront. Avec beaucoup de pragmatisme et une grande lueur d’espoir cette pièce nous fait voir l’état actuel du monde. Il n’est pas encore trop tard pour agir.

Une jeune femme dit avec sensibilité et clairvoyance la réalité du monde dans lequel elle vit, avec rage, détermination et tout son coeur elle s’ouvre au public. Beaucoup d’éléments permettant aux humains de vivre et être heureux sur la planète ont été enchaînés, emprisonnés par la Banque et l’Etat. L’océan, les glaciers, la nature, la paix… vont devoir proclamer leur importance, défendre leur raison d’exister. La Banque et l’Etat en seuls juges, vont-ils être prêts à les entendre ? Vont-ils leur donner une chance? Avec une fin qui donne beaucoup d’espoir la jeune femme revient sur scène en montrant qu’il n’est pas encore trop tard pour agir et faire partie d’un monde meilleur.




Nous avons eu le grand plaisir de tourner une petite vidéo en collaboration avec la chanteuse Marije, ceci pour la sortie de son nouveau single "Ocean Tower".
- MarijeOosting.com

Swiss-Dutch Singer & Model Marije just released her new single "Ocean Tower"!

L'aventure de la troupe de théâtre qui s'appelle aujourd'hui Ni d'ici ne de là-bas a commencé au refuge du Collectif R à Lausanne en 2015, ceci afin de donner voix de façon créative aux revendications et à la lutte du collectif.

Le collectif R a réuni des suisses, d'autres habitants de la région et des réfugiés Dublin dans un refuge organisé pour la circonstance par une occupation de la salle paroissiale de l'église Saint-Laurent. Les rapports avec la hiérarchie de cette église étant de plus en plus chaotiques, nous avons ensuite déménagé ce refuge dans une partie des locaux de la chapelle Mon-gré.   Le refuge a permis à de nombreux hôtes du refuge de pouvoir rester en Suisse malgré le zèle aveugle que mettent les autorités suisses et vaudoises à les renvoyer sans même entrer en matière sur les motifs qui les poussent à vouloir rester.

Les autorités vaudoises ont durci leur pratique, ce qui a rendu le refuge inefficace pour aider les réfugiés, si bien qu'il a été fermé après le départ du dernier réfugié en décembre 2017. Nous avons décidé de poursuivre les activités de la troupe. Pendant toute cette première période, la troupe de théâtre du Collectif R a proposé différentes performances et pièces de théâtre dont le thème principal était la migration. Dès le début des activités de la troupe et encore aujourd'hui, la composition de la troupe et son expression artistique furent le reflet de cette mixité ethnique, sociale et culturelle. Ceci  nous permet de jouer sur différents registres émotionnels et culturels pendant nos représentations et de présenter les thématiques abordées sous de nombreux aspects. Cette aventure merveilleuse a été rendue possible avec l'aide de deux personnes de Métis'Arte, Clauda et Sandra, qui l'ont animée dès le début avec joie et un engagement permanent. Elles nous ont initiés au théâtre de l'opprimé; et depuis, d'autres personnes, y compris des professionnels du théâtre, sont venues participer à l'animation de la troupe, ce qui nous a permis de faire progresser rapidement notre jeu et de découvrir d'autres formes théâtrales.



Notre dernière création de cette période fut "Si ceci se sait", une fresque sur la migration et la politique suisse de renvois systématiques que nous avons jouée le 10 juin 2017 au Festival In-Cité à Lausanne.